Je vous ai déjà parlé en mars de la trouvaille faite au salon du livre cette année, au détour d’un catalogue, sur le stand de Bragelone, qui abritait aussi la toute nouvelle maison d’édition de Stéphane Marsan (cofondateur de Bragelone) : la parution à venir (à ce moment-là), et pour la première fois en français, de l’auteure irlandaise Louise O’Neill, avec Une fille facile, le 16 mai. Je l’avais annoncé sur la page FB du blog dès le 19 mars, tant j’étais enthousiaste (et sur Instagram) et j’avais enrichi le site Babelio de ce livre qui, bien évidemment n’y figurait pas (puisque personne n’était au courant, sauf les quelques personnes passées sur le stand et ayant lu la petite brochure à disposition).
Le roman m’attend bien gentiment dans ma liseuse, pour un prix tout modique, 9,90€. Aucune raison de se priver. De toute façon, j’en n’avais pas l’intention ! 🙂
Un certain blog s’approprie les « trouvailles » irlandaises, sans citer ses sources, surtout quand elles viennent de moi. J’ai mis deux fois un commentaire qui a été systématiquement retiré. Je vide mon sac parce que ce n’est pas la première fois que cela arrive. J’ai eu droit à la même chose pour le premier roman de Laura McVeigh, Sous les étoiles silencieuses, annoncé sur la page FB du blog dès le 29 décembre, ajouté par moi-même sur Babelio. Depuis, j’ai lu et chroniqué le roman, que j’ai beaucoup aimé. Laura McVeigh (qui écrit parfaitement le français) m’a même remercié pour mes deux chroniques où apparaît son livre.
Je passe sur ma découverte le 5 janvier du premier roman de Sara Baume chez un petit éditeur lors d’une virée à la FNAC et annoncé sur la page FB du blog, dès le lendemain, avec aussi une photo du format poche de La neige noire de Paul Lynch.
Bref, ne pas citer ses sources par omission s’apparente à du plagiat. On peut me dire que le plagiat serait de pomper les auteurs sans les citer et que les livres à paraître peuvent être trouvés sur les sites éditeurs. Certes. Mais quand un livre n’est pas visible sur le web ou la blogo et que vous êtes le premier à en parler, il y a comme un problème tout de même – et puis je suis aussi l’auteur de ce blog, entre autres. Il y a tout de même de drôles coïncidences, surtout quand cela se répète. 🤔Je ne parle même pas de la censure qui consiste à retirer un commentaire qui n’a rien d’offensant mais rappelle juste la source de tout ça. Ca parle de soi!😁 Si on est tranquille avec soi-même, on ne le retire pas. Le reste est malhonnêteté. Bon, il se trouve que j’ai éjecté cette personne de mes contacts FB après m’être pris dans la face il y a un an un : »Tu commence à me gaver » où je n’ai pas compris le pourquoi du comment. J’aime pas les gens violents. Je lui ai demandé de retirer mes chroniques de sa page FB (parce qu’il faut être cohérent, si je « commence à la gaver », eh bien, elle va jusqu’au bout et elle retire mes chroniques qui alimentent sa page; ce qu’elle a refusé et ce qui a déclenché une logorrhrée haineuse et délirante où elle me reproche d’ailleurs de l’avoir virée de mes contacts). J’aime pas les gens fourbes et j’ai l’habitude de dire ce que je pense. C’est comme les sales mots qu’on balance à la gueule des gens comme s’ils étaient des chiens et de s’étonner ensuite qu’ils vous jettent. Désolée, je ne reste pas pote avec les gens insultants, les faux amis. Et c’est trop facile de choper le boulot des autres et de se l’approprier par « omission ». A moindre frais et moindre effort. Ca me fait vomir. Je suis allée 2 jours au salon du livre, j’ai arpenté les stands, posé des questions etc.
Revenons à nos chers bouquins :
Autre sortie majeure en ce mois de mai, le dernier livre de Colum McCann, qui n’est ni un roman, ni un recueil de nouvelles, mais une sorte de guide, Lettres à un jeune auteur Parution prévue le 19 mai 😎
Sorties en poche chez 10/18 de Génération de Paula McGrath, que j’avais lu et chroniqué en grand format fin décembre 2016 et de Assez de bleu dans le ciel de Maggie O’Farrell (chroniqué en mai 2017)
(voir la page FB du blog respectivement du 1er mai et du 31 mars)
Côté Ecosse, je suis plongée avec délectation sur le dernier Peter May qui se déroule sur l’ïle de Lewis, dont j’ai complètement oublié de parler alors que je l’attendais depuis de longs mois, Je te protégerai , sorti le 2 mai.
J’en ai lu un peu plus de la moitié. Je ne sais pas encore trop quoi en penser.
La prochaine fois, je vous parle d’un thriller américain qui m’a pas mal plu !
Je n’ai pas tout compris, mais effectivement, sans aller jusqu’à parler de plagiat, c’est normal d’indiquer qui nous donne régulièrement des informations intéressantes à relayer. Surtout que c’est plutôt une habitude sur la blogosphère de mettre des liens vers les sites des autres, on est avant tout là pour se donner des conseils et des tuyaux.
Sinon, tu me rappelles que je dois lire d’autres Maggie O’Farrell, dont j’ai adoré « Esme Lennox » mais que je n’ai jamais relue.
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Effectivement c’est la moindre des choses, surtout quand ce sont des livres invisibles sur la toile. Pour ceux qu’on voit partout, je m’en fiche. Mais là, pour Louise O’Neill, auteure irlandaise que j’avais repérée dans la presse irlandaise avant même sa traduction l’an dernier (il suffit de fouiller la page FB du blog qui est en mode public) et dont le hasard a fait que je suis tombée sur une brochure au salon du livre de Paris il y a 2 mois alors que ce livre était invisible sur la toile – et on ne peut pas dire que les éditions Stéphane Marsan qui sont toutes jeunes soient hyperconnues – c’est moi qui ait fait tout le boulot pour rendre cette parution visible (Babelio , Instagram, le blog, Facebook). Alors j’estime que c’est une forme de vol. Le plagiat c’est aussi omettre de citer ses sources, et faire ainsi croire que cela vient de son propre travail. Ca ne m’étonne pas de la part de cette personne qui est tout en fausseté. C’est pas grave mais je ne pouvais pas garder le silence sur cette pratique malhonnête. Et la preuve c’est bien qu’elle a retiré 2 fois mon commentaire sur son blog. Donc elle ne peut pas dire qu’elle ne savait pas. En tout cas, elle a oublié de parler de Colum McCann 🤗.
Pour Maggie O’Farrell, L’étrange disparition d’Esme Lennox » est sans doute son meilleur. Ses romans sont inégaux je dois dire. Je n’avais pas du tout aimé « La maîtresse de mon amant », mais je garde un bon souvenir des autres, sans qu’ils soient inoubliables. Je pense qu’il va y en avoir un autre, autobiographique, bientôt car je l’ai vu en VO chez Shakespeare and Co l’été dernier. J’ai beaucoup aimé « Génération » de Paula McGrath.
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